DC Shred Days à Meribel

Le week end dernier DC organisait les Shred Days à Méribel. La recette est simple : ils amènent TOUS les riders DC, du team inter (Devun Walsh, Torstein Horgmo, Lauri Heiskari, (seul Dimitri Biau était excusé, blessé) etc...) mais aussi le team Europe, ainsi que tous les teams locaux (france, espagne, europe de l'est etc...). Beaucoup de riders donc, mais aussi tous les gros shops et les gros bonnets de la marques.

Quelques médias étaient aussi de la partie, comme nos potes de Method qui ont fait la vidéo ci dessous, mais nous y étions aussi, pour quelques photos et le petit report qui se trouve dans la suite !

DC Shred Days 2012

Ryan Tiene et Julien Bechet

DC a donc fait de Méribel et de leur Area 43 le centre névralgique de toutes leurs opérations snowboardistiques. C'est donc dans cette version Européenne du regretté Mtn Lab que se sont rejoints 150 personnes plus ou moins liées à DC de quelque façon que ce soit, riders, clients, média, staff, fans, groupies et autres personnes-qu'on-sait-pas-trop-ce-qu'ils-foutent-là-mais-c'est-cool-quand-même. 

Torstein n'a quasiment pas ridé, il avait des problèmes au niveau des oreilles.

Bel hotel, bons restos, bbq de compétition sur le park, le groupe est soigné mais le mauvais temps se mêle de la partie. Prévu sur quatre jours, ces shred days voient leur seconde journée (dimanche) mise à mal pour cause de grosse chute de neige, brouillard et autres calamités. Cela n'a apparemment pas dérangé les visiteurs d'outre-atlantique, qui se sont réfugiés sur les breuvages locaux... Le lendemain 25 centimètres de neige avaient recouvert le domaine, les ciel bleu était sorti pour deux jours et le park avait été reshapé : voilà de quoi rendre tout le monde heureux. 

Mat Schaer dans la poudre au bord du park.

La suite est assez classique : les stars n'ont pas trop ridé, les jeunes qui n'en veulent ont montré qu'ils avaient de quoi passer dans le team du niveau au dessus (Cesar Reversade était encore une fois bien en forme). Les riders ont ridé, les photographes ont photographié, les caméramen ont caméramané. C'était très cool sans être totalement révolutionnaire, et pour la mention spéciale big up à Thierry Kunz (responsable du marketing DC Europe) qui a montré qu'il était passé de l'autre coté du bureau, mais qu'il n'avait pas oublié sa motive pour rider !

C'était familial, c'était cool, et surtout cela montre encore une fois que la France n'est plus le tiers-monde du snowboard, mais une terre où les riders "internationaux" viennent pour les tours des marques, pour les contests ou pour filmer...

Prochaine étape, avoir des riders français dans ces fameux teams "internationaux" ? La suite au prochain numéro !

Vidéo : Method. 

Photos : Fred Egli,Testemale, pj.